Guerre des drones-suicide: ça peut devenir scabreux.

Bonjour, Après la guerre Azerbaïdjan/arménie de 2020, où pour la première fois les drones-suicides ont été utilisé de manière non anecdotique, la guerre d’ukraine actuelle nous donne un aperçu de l’efficacité du drone suicide, que ce soit à longue portée ou à courte portée. (geran/shaher136 russes, drones FPV équipé d’une charge de RPG7…)

Peut-on imaginer une extension à des distances plus importantes, et un usage en mer.

La cible:

Ou ça:

Ces navires sont puissants et coûteux, bourrés d’électronique et de radars. Le premier est équipé d’une soixantaine de missiles antiaériens, le second est un porte-avion.

Le but n’est pas de couler les navires (quoique…) mais de les rendre inapte au combat. Il s’agit de cibler des zones précises, en particulier les grandes antennes plates des radars, radars qui sont de construction délicate.

L’engin d’attaque:

Dimensions environ 2,5m d’envergure pour 1,5m de long. Le moteur est un moteur chinois trouvable sur Alibaba d’un prix d’environ 750 à 1000$ bénéfices compris.

Il fait 20kg de traction en altitude (2000m) pour 12cv et un poids de 3kg.

Pour la structure du drone, point besoin de fibre de carbone, ceux qui sont capable de mouler le composite bambou comme ci dessous seront capable de faire le fuselage:

Le but est de faire un engin le moins cher possible, pour le produire en masse (de l’ordre de 100.000 par mois) Portée estimée de 200 à 400km (si drone relai)

L’usage: il faut prévoir des drones d’attaque avec charge explosive, pas forcément importante (5-10kg) +- charge creuse en tandem, se dirigeant par guidage GPS ou Glonass ou Beidu puis avec optique de guidage laser (comparable à celle des missiles antichars type milan) des drones antiradars (type harpy), des drones désignateurs de cible équipé d’une électronique plus conséquente et d’un laser pour illuminer ces fameuses antennes plates, voire de drones lanceur de leurres au moment de l’attaque

L’attaque se ferait par saturation en lançant 100 à 200 drones simultanément sur un court laps de temps 1-5 minutes pour une attaque en essaim.

La défense contre ce type d’attaque:

-Missiles antiaériens: leur nombre est compté et le prix est 50 à 100 fois le prix des drones attaquants.

-le CIWS: bonne idée, mais les canons ne peuvent soutenir des tirs de plus de 1 minute continus…et à 10.000 coups/minute le chargeur est vite vide.

Question: qui peut faire ce genre d’engin?

Le moteur: beaucoup de monde, (ici il est chinois) mais à quel prix?

La cellule: à pas cher la Chine et pays manufacturiers (inde, pakistan, bengladesh, indonésie…)

L’électronique : la Corée, le Japon, Taïwan, les USA, la Chine principalement (pour le pilotage un arduino suffit!)

Bref….Si des pays se décident à faire la vraie guerre au vu des enseignements récent, il faudra surveiller ça.

Sous-marin nord-coréen Hero Kim Kun Ok: étude rapide.

La Corée du Nord a lancé un nouveau sous-marin qui était en construction depuis au moins 2017. Voici quelques photos de cet engin, on verra ce que l’on peut en tirer.

Sur cette image, en comptant qu’un homme avec casquette spéciale fait 1,85 m de haut j’obtiens un sous-marin de plus de 70 m de long et 7 m de diamètre environ.

Sur cette image l’armement est visible. il y a 10 tubes lance-missiles (2 rangées de 5 à l’arrière de l’îlot)

C’est l’image la plus intrigante. Une grosse canalisation débouche au 1/3 arrière dont l’orifice semble avoir un diamètre de 50cm. Ce n’est pas pour l’évacuation de l’eau des ballasts mais plus probablement le rejet d’eau de refroidissement de la propulsion.

Est-ce une propulsion nucléaire la est la question. le plus petit sous-marin nucléaire d’attaque est la classe RUBIS française, qui fait 73m de long sur 7.6m de diamètre pour 2670t en plongée. Il est possible que cet issue d’eau de refroidissement soit celle du réacteur car la puissance thermique à évacuer est plus grande que sur un diesel. Il sera intéressant de suivre la chose. A priori au vu du profil des roméos russes, ce sous -marin est à propulsion conventionnelle.

Les Nord-coréens ont présenté le sous-marin comme nucléaire tactique (les missiles sont porteurs d’une bombe nucléaire, leur portée évaluée est de 1.500 à 3.000 si c’est le Pukguksong-3A de 1,5m de diamètre pour 9.5m de long).

Drone-torpille nord coréenne Poseidon-like?

Les Coréens du Nord ont dévoilé une nouvelle torpille dronisée:

Le site Covert Shores donne les dimensions suivantes: environ 16m de long pour 1,5 à 1,6m de diamètre avec propulsion diesel-électrique possible.

En effet il interprète les 3 pots à l’arrière de la torpille comme étant des filtres à air. En supposant qu’1/5 du volume interne de la torpille soit réservé au gazole, cela ferait un volume de 3000l. Largement de quoi traverser le Pacifique à faible vitesse (4-6 noeuds.) et non pas 1000 km comme indiqué sur ce site. Le poids de l’engin est, par définition son volume à une densité de l’eau de mer, soit environ 25 à 26 tonnes.

Mais je pense que cette interprétation est fausse. en regardant de plus près les « pots » sont au sommet d’une courte tige dont le diamètre semble se rapprocher de celle d’un canon de fusil, c’est trop peu pour l’admission comme pour l’échappement. De plus la position de ces pots est exposée aux projections d’eau de mer, dès que celle ci n’est pas d’huile! L’autre explication est qu’il s’agisse d’antennes de liaison radio, de même que l’antenne plate (starlink 😀 ) à l’avant de la torpille.

Si la torpille fonctionne à la pile a combustible au méthanol, plus simple que celle à hydrogène, on peut espérer un rendement de 20-25% de la réaction chimique (pile effoy)

Pour 3000 l de méthanol, il faut environ 1700l d’oxygène liquide. l’énergie disponible correspond à ce qui serait fourni par un moteur diesel de bonne facture avec 700l gazole seulement. On peut émettre des hypothèses de puissance continue.

Si la puissance continue est de 10KW/h la consommation est de 9l/h. donc le réservoir est vide au bout de 300 heures. à 6 nœuds cela ferait une autonomie de 3300 km. Je ne dispose pas de la donnée suivante résistance à l’avancement d’un cylindre avec ogive à la pointe mais cela doit se calculer facilement…et donc la puissance nécessaire à faible vitesse!

A suivre…

Qui veut les plans de Marcoule G2?

Amis du soir bonsoir.

Après les Chinois qui donnent le moyen de refroidir les têtes nucléaires, voici les Américains ou plus exactement le DOE (département of energy) qui laisse traîner sur le Net des plans de …. Marcoule G2, réacteur plutonigène conçu vers 1958 pour équiper les forces armées française d’armes nucléaires.

Ce réacteur faisait 200 MW thermiques (le réacteur Nord Coréen en fait 20 maxi) et était chargé de 110 t d’uranium naturel (pas d’enrichissement nécessaire).

Le doc précise la géométrie interne du réacteur, la conception des barreaux d’uranium et de leur gaine avec en prime l’outil utilisé pour souder les gaines.

Bon je n’en montre pas plus je ne tiens pas à passer par la case zonzon.

refroidissement des têtes nucléaires: et si la pointe de gazole était la solution?

Bonjour,

Nous avons vu que dans l’ article précédent quej’ai émis l’hypothèse d’un refroidissement des ogives nucléaires par injection de gazole à la pointe. Il est connu que pour refroidir les cylindres d’un moteur à explosion il faut enrichir le mélange.

Essayons d’avoir un ordre de grandeur de la quantité de gazole nécessaire pour refroidir la tête.

Estimation de la quantité d’air se présentant devant la pointe et soumise à compression. Au vu des photos, la section de la pointe est de l’ordre de 50 à 100cm2. c’est la colonne d’air présente devant cette pointe qui chauffe énormément.

Quel est son volume en m³  exprimé à pression normale  pour 300km parcouru (probablement moins, l’angle de ré entrée étant relativement grand)

Pour 1km parcouru à la pression régnant à 10km d’altitude (264hp pour 1013 hp au sol)

Section de 5 X5 cm 1M3=400m parcouru soit 750m3 dont la majeure partie au dessus de 10km soit environ 200m3 à pression normale (au sol). Cela correspond à ce qui est brûlé dans mon moteur de scenic (2000t/min,1,6l) en 1 h de fonctionnement (pour une conso en charge de 6 litres!)

Si on enrichit à 1000 % pour refroidir 60litres suffisent !

Conclusion avec ces données les chiffres ne sont pas déconnants ! (je ne me retrouve pas avec 1 tonne de gazole à emporter)

Voici donc un raisonnement de psychotique 🙂

Ogive nucléaire: garder la tête froide-seconde partie

Bonsoir, comme vu dans l’article précédent, on peut se demander comment réaliser une injection de gaz froids à la pointe de l’ogive.

Il y a les fusées d’ Elon Musk qui peuvent nous donner l’idée: un petit moteur fusée de faible poussée orienté vers l’avant de l’ogive.

Question: quelle est l’ordre de grandeur des pressions au sein de l’onde de choc pour pouvoir repousser cette onde de pression au delà de la surface de l’ogive? Si on en croit le shéma diffusé par les chinois , la température maximale est de 9000k. En appliquant la loi des gaz parfait, la compression du volume de gaz compris dans la lentille de l’onde de choc, en supposant son volume constant est d’environ…..33 bars seulement.

Ceci semble donc bien accessible à un petit moteur fusée, les pressions obtenues dans les chambres de combustion étant nettement plus fortes. On peut même imaginer, afin de réduire l’effet oxydatif de l’air ambiant, un moteur fusée imparfait brûlant un mélange riche en carburant, l’excès de carburant maintenant une atmosphère réductrice empêchant que le revêtement de la tête ne brûle…

Idée zarb: injecter directement le carburant liquide grâce à un « karcher » à la pointe de l’ogive en lieu de moteur fusée…Il est connu que pour refroidir les cylindres dans un moteur à explosion il faut enrichir le mélange! Pour les Nords Coréens, les injecteurs diesels d’une vieille japonaise devraient faire l’affaire. (la pression dans les injecteurs diesel à injection directe montent à 1.000-1600 bars, laaaaargement assez pour couvrir le besoin.)

et hop, roule ma poule, y’a pus qu’a tester 🙂 , me manque la soufflerie hypersonique 😆

Antimissiles stratégiques: le grand délire technique?

Bonsoir,

L’interception de missiles tactiques ou stratégique d’une portée supérieure à 500km est actuellement à la mode, vu la multiplication des menaces nucléaires. Historiquement, les premiers systèmes faisaient appel à des explosions nucléaires en altitude pour l’interception. ces systèmes étaient encadrés par le traité ABM, les Russes ayant choisi de protéger Moscou, les USA un site de lancement (silos)

Lors de la première guerre du Golfe, en 1991, les USA ont testé grandeur nature l’efficacité des Patriot contre les SCUD et apparentés avec un taux de réussite réel faible, voire nul (?) sauvés par l’imprécision de l’arme attaquante et la faiblesse de sa charge offensive (de mémoire 300kg d’explosifs pour le missile SCUD à portée allongée à 900 km). L’usage du Patriot lors de la guerre du Yemen, plus récente a montré une certaine inefficacité, l’aéroport de Riyad ayant été atteint par une ogive tirée à 1000km environ, avec un delai de réaction de l’ordre de dix minutes seulement

Le stade suivant a été le THAAD américain, le début des essais étant mauvais, ils se sont amélioré en condition expérimentale. S’en est suivi un système basé en Alaska pour intercepter les tirs (nord- coréens ou Chinois?) de fiabilité encore douteuse lors d’essais contrôlé. La Chine est également rentrée dans cette course avec un peu plus (?) de succes.

Aucun de ces système n’a jamais été testé lors d’un conflit réel.

Raisonnons maintenant à la mode de l’attaquant: La partie la plus sensible à l’interception est le vol propulsé du missile: En effet à ce moment là, il y a  peu d’objets en vol, donc la défense se trouve avantagée, d’autant qu’il est quasi impossible d’user de leurres…a moins d’imaginer le tir simultané de fusées inertes chargées de détourner le tir de l’antimissile.

Une fois la ou les ogives larguées, la situation côté défenseur devient plus critique, en effet, il va se trouver confronté à une multitude d’objets en vol, de la coiffe en passant par des leurres volontaires. A ce niveau, il y a 2 possibilités: Chercher à camoufler l’attaque (difficile et coûteux) soit au contraire à rendre tout bien brillant aux yeux des radars, via des reflecteurs voire même par des répéteurs actifs et d’émetteurs infrarouges relativement faciles à réaliser pour attirer la tête chercheuse de l’antimissile. L’important dans le second cas étant de multiplier le nombre d’objets potentiellement dangereux. Il est à noter qu’une fois dans l’espace, l’ensemble de ces objets se déplacent à la même vitesse, sur des trajectoires proches.

A la descente, pour un ICBM la tête file à environ 20 fois la vitesse du son, pour finir sa trajectoire à 7-10 fois cette même vitesse. La tête peut manoeuvrer pour rendre l’interception difficile, d’autant que le temps de réaction est extrèmement court et que l’engin parcourt les derniers 300-400km en 2 minutes maximum….

Ces systèmes antimissiles ont pour caractéristiques d’être couteux, au point qu’il n’est pas sûr que l’antimissile soit moins cher que le missile avec sa tête nucléaire….

Têtes nucléaires gardons la tête froide.

Certains ingénieurs de Corée du nord pédalent dans la semoule pour garder la tête froide. C’est fou ce que l’on trouve sur le Net, le principe de refroidissement des dites têtes publié par les…chinois. Le principe est d’injecter à la pointe de l’ogive par un ou plusieurs trous un gaz froid afin de former un film frais et de repousser en avant de la tête l’onde de choc et ses hautes températures.

Là les Nord-Coréens ont oublié de percer les petits trous pour refroidir la tête du Hwasong 10….

J’avais entendu parler de l' »aérospike » des américains…lien mais ce n’est valide que pour la phase propulsée du missile, pour la descente la pointe d’air est utilisée….

Sous marin (nucléaire ou pas): faire la chasse grâce à Neptune et ses petits poissons.

Bonjour

Séquence délire: Imaginer une arme pour la chasse au sous marin nucléaire à partir de sources ouvertes. Le sous marin est une arme fantastique, relativement discrète et non signée. La détection du sous marin se fait soit au bruit (qui augmente si le sous marin navigue plus vite) soit à son magnétisme (détection par avion). L’avion renifleur a été une vaste escroquerie scientifique fin années 70.

Pour rester discret vis à vis du bruit, il suffit de se déplacer lentement sans danser la valse dans le sous marin. De plus, si les moteurs tournent lentement il est moins détectable. Il semblerait que la vitesse en mode silencieux soit faible de l’ordre de 5 nœuds. (ceci est confirmé lors d’une collision le 6 fevrier 2009 entre deux SNLE, un français, un anglais, en fevrier 2009: la vitesse au moment de la collision était de 3-4 noeuds-sources « illusions nucléaire » de P Quilès lien ) Un sous marin nucléaire lanceur d’engin, doit, par nature, rester silencieux pour ne pas se faire repérer. Alors, comment faire pour chasser le SNLE si possible à coût modique?

La mine intelligente: On peut imaginer une mine ou torpille dormante posée sur le fond de la mer et qui ne s’active que lorsqu’un sous marin passe à portée à la manière d’un fourmilion guettant la fourmi au fond de son cône. Il faut pour cela disposer de la signature acoustique du sous marin, et que la torpille dispose d’un sonar passif couplée avec une base de données de sons de sous marin. Avec un « If bruit, else je m’active, on arrive au résultat voulu. Mais, miner au delà de ses eaux territoriales est difficile, voire impossible pour certains états. Ce serait bien si la mine était mobile. En 1939, la France avait miné le fleuve Rhin afin de paralyser le trafic batelier. Réussite complète avec quelques centaines d’engins largués, qui flottaient entre deux eaux.

Or, il existe des engins qui semblent pouvoir être prometteurs pour cet usage, il s’agit du planeur sous marin. Comme les avions planeurs, ils sont silencieux car leur motricité est assurée en faisant varier leur flottabilité grâce à une vessie natatoire…comme les poissons. Les expérimentations chinoises montrent une autonomie de plusieurs mois. Comment cela peut-il fonctionner? La vessie natatoire peut être constituée d’un cylindre d’acier interne relié à la mer par une conduite disposant d’une vanne. L’intérieur de ce cylindre est séparé par un compartiment gaz ou eau par une membrane mobile (en gros, comme dans un vase d’expansion de chauffage central) On peut imaginer que l’injection de gaz fasse varier le poids du cylindre ou, simplement le chauffage du gaz qui peut être en partie liquide/sous forme gazeuse. Pour monter l’engin fait entrer le gaz dans le cylindre et chasse l’eau, pour descendre il admet l’eau en chassant le gaz ou en le refroidissant. La source d’énergie peut être apporté par une pile à combustible au méthanol, moins coûteuse que la pile à hydrogène. Il faut en revanche prévoir une source d’oxygène à bord. Cet engin donc navigue entre deux eaux à des profondeurs qui vont de la surface à quasi 1000 m, couvrant le besoin. Je ne dispose pas des données de vitesse ni des données de finesse hydrodynamique de ce bidule, mais ça a l’air d’être exploitable. En effet, le mode de déplacement est silencieux par nature (pas de moteurs tournants) Si le sous marin est quasi immobile, le simple bruit des pompes et du réacteur nucléaire va attirer le « poisson » jusqu’au contact. Si le sous marin est plus rapide que les engins, il ne sait pas ou ils sont => si ça se trouve il fonce dessus! La chasse avec des engins plus nombreux mais plus lents est parfaitement réalisable (exemple célèbre du jeu où il faut éviter les zombies à la Wii à la différence que…vous ne savez pas où sont les zombies!) Il est peut être (?) même possible que ces engins puissent communiquer entre eux via ondes ultra longues…et chasser en réseau. Il est également possible d’établir une « liste blanche » de sources sonores à ne pas attaquer pour protéger ses navires et une liste noire de cibles au niveau du traitement du signal sonore.

Le seul moyen de détection de cette arme par le sous marin consiste à allumer son sonar actif: Là il perds le bénéfice de la discrétion!

A noter que le même engin peut servir à attaquer les navires de surface.

Dans l’article sur l’engin chinois ils parlent de coût modiques….

PS les derniers modèles plongent à plus de 8000m, en les faisant « bouchonner » ils peuvent acquérir de la vitesse.

Dernier détail: cette arme comme les missiles atomiques portés par les sous marins, est non signée, c’est à dire qu’il n’y a pas de possibilité d’accuser un attaquant si on perds un sous marin. Si on en pêche une au filet (les chinois l’ont fait ?? ) on ne peut rien en déduire….

Edit de ….2021: Un article du Monde parle de ces « planeurs sous marins »… https://www.lemonde.fr/international/article/2021/01/08/des-drones-chinois-dans-les-eaux-indonesiennes_6065613_3210.html

Pour sourire, bonne écoute!

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